1. Moins par moins donne plus (suite)


    Datte: 08/03/2019, Catégories: fh, ff, fhh, couple, couplus, vacances, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... palais pour retomber sur ma langue. J’ai abandonné les fesses pour branler le pieu en éruption et traire jusqu’à la moelle le nectar.
    
    Le nectar. C’est en ayant la pensée de ce mot que je me rends compte combien, en si peu de temps, j’ai changé. Si rapidement ! Étonnant ! À moins que, sans vraiment en avoir conscience je cachais des envies tout au fond de moi. Les enfants qui grandissent, un mari qui, toujours présent, mais moins entreprenant, avec une épouse que je reconnais avait centré son énergie sur d’autres priorités que l’érotisme et la sexualité.
    
    Oui le nectar ! Et alors ? C’est chaud. Une consistance particulière. Une onctuosité bizarre. Un goût pas si fort que cela. Différent de la purée de Pierre cette nuit ? Je ne sens pas. Il faudrait pouvoir comparer au même moment.
    
    (Peggy. Arrête. Tu deviens vraiment salope d’avoir ce genre de pensées).
    
    Pour l’instant, les jets se tarissent. Je suis pleine de sa liqueur.
    
    — Alors chérie, quelle différence ?
    
    Ah, le cochon, le pervers. Mon mari cachait bien son jeu. Lui aussi devait freiner ses envies.
    
    — Plus goûteux !
    
    Et vlan, voilà ma réponse, juste pour le titiller alors que j’ai retiré la bite de ma gorge, et avalé le foutre de son ami.
    
    La nuit permet tout. Ce n’est pas la Peggy, femme sage, mère de famille qui répond au père de ses enfants. Non, c’est la Peggy, salope qui vient de pomper le mari d’une autre et, ma foi, assez fière de sa performance.
    
    Le calme est de courte durée. Nos amants sont ...
    ... toujours debout en face de nous. Chacun reprend son souffle. Même eux qui sont restés immobiles donnent l’impression d’avoir couru un cent mètres. J’en profite pour me reposer en me laissant aller sur le canapé. Mais un mouvement étrange de Ruis m’intrigue. On dirait qu’il se penche vers Pierre. Les deux rubans du cou se rapprochent. On dirait qu’ils vont s’embrasser. J’ai du mal à le croire. Difficile à dire ce qu’ils font. Voir les rubans ne suffit pas. Je tends l’oreille. Je surveille les poignets. Je regarde les chevilles. Un chuchotement. Voilà ce que je reconnais. Ils se parlent à l’oreille, cela doit être cela ! Mais qu’est-ce qu’ils peuvent bien comploter ?
    
    Je ne sais pas. Je vois juste mon amant revenir vers moi, en réalité prendre mes poignets dans ses mains et me tirer pour me lever. Je comprends qu’il faut que je laisse la place aux autres. Je devine Pierre inciter sa maîtresse à s’allonger.
    
    Roxane occupe la place. Les anneaux sont parallèles. Le cou, la taille, les chevilles et même les poignets sont maintenant des demi-cercles. J’imagine que Pierre va venir recouvrir et baiser Roxane. Je le sais capable de rebander assez vite. Ruis s’appuie contre moi. On dirait qu’il veut que nous regardions. Sa queue forme une masse à demi somnolente contre mes reins.
    
    — Mets-toi en soixante-neuf sur elle.
    
    Je comprends ce que les hommes complotaient. Les vicieux. Les cochons. Les pervers. Ils veulent réaliser le rêve de tout homme, voir des femmes se gouiner. Je vais ...
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