1. Moins par moins donne plus (suite)


    Datte: 08/03/2019, Catégories: fh, ff, fhh, couple, couplus, vacances, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... libérée par la main de mon amant. J’imagine un court instant les lèvres de Ruis caresser le gland si sensible de Pierre. Et si… Et si…
    
    Mais Ruis revient vers moi. Il me fait face. Nous sommes comme soudés. Je sens sa puissance. Ses mains sont partout. Moi aussi je le caresse. Cette fois-ci depuis ses épaules je longe les flans, apprécie la dureté de ses fesses et avec précaution, contournant les hanches j’atteins sa queue. Mes deux mains s’en emparent. Maintenant je sais que je ne pourrai plus la confondre avec Pierre. Elle est plus grosse, un peu courbée, sûrement plus longue. Les bourses sont énormes.
    
    (Allons Peggy, calme-toi. Ne laisse pas dériver ton imagination. Tu sais de quoi elle est capable, pensé-je en enveloppant les couilles d’une main).
    
    Je retiens un cri lorsque lui découvre mon intimité. Mais pourquoi se retenir ! Ce n’est pas comme la nuit dernière où la situation imposait de ne pas se révéler en parlant. D’ailleurs, j’entends un soupir. On dirait la voix de mon mari. Ils ne sont plus à côté de nous. Les cercles de lumière me les désignent. C’est extraordinaire comme le cerveau est capable à partir de peu d’information de reconstituer une image.
    
    Les rubans de Pierre montrent qu’il est debout. Par contre ceux de Roxane la montrent, à genoux, non, assise plus exactement. Je comprends qu’ils ont trouvé le chemin de la longue banquette qui fait office de canapé tout contre le mur.
    
    Je comprends que Roxane, suce ou caresse la queue qui est à sa ...
    ... hauteur. Le collier de son cou semble se confondre avec celui de la taille de Pierre. Si elle le caressait, ce n’est plus le cas, car les anneaux des poignets montent que les mains sont sur les fesses. Elle lui fait une fellation. Lui debout, elle assise sur le canapé.
    
    Ruis a dû comprendre aussi. Il m’entraîne. Juste quelques pas et je me retrouve assise à côté de mon amie. À cette distance la luminosité des rubans forme un halo qui éclaire les quelques centimètres de peau autour. Mais je n’ai pas besoin de vraiment voir pour comprendre. Le passage de sa tête devant l’anneau de celui qu’elle suce parle pour elle.
    
    Mais Ruis est là aussi. J’en suis sa gourmande. Moi, je plaque tout de suite mes mains sur les fesses, heureuse de sentir les muscles bouger alors que ma bouche va à la rencontre de ce qu’il m’offre. S’il est plus gros, il est, pour l’instant du moins, plus mou que mon mari, lui dont les érections fournissent un bâton toujours dirigé vers le ciel. Celle de Ruis semble fléchir de son propre poids. Lorsque mes lèvres enveloppent le gland, j’ai la confirmation qu’il est plus gros.
    
    — Putain que c’est bon.
    
    La voix de Pierre brise le silence. La musique semble plus lointaine. Juste à côté, je découvre aussi le bruit bien caractéristique d’une bouche qui pompe un dard. Roxane a pris de l’avance. C’est un point auquel je n’avais pas pensé. La concurrence. Si elle est absente, ou juste par l’esprit, lorsque les couples sont éloignés, ici elle apparaît comme ...
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