Tout est bien qui finit bien
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
chantage,
pénétratio,
occasion,
Auteur: ARCAY, Source: Revebebe
J’ai 35 ans, je vis seul et suis installé au Luxembourg. Mon choix n’a pas été anodin car j’exerce un "métier" qui demande beaucoup de discrétion. En effet, je suis voleur professionnel. Ma spécialité est les œuvres et objets d’art. J’ai autour de moi un petit réseau de collectionneurs et de revendeurs qui me passent des commandes régulières. Je travaille seul, ce qui me permet de rester très discret.
Mon pays de résidence n’est pas très regardant sur l’origine de mes revenus et ainsi je ne cours pas grand risque si ce n’est lors de mes cambriolages. Certes, je ne suis pas Arsène Lupin mais mon petit commerce me permet de vivre correctement.
La semaine dernière j’ai appris qu’un petit tableau ancien avait été acheté par un couple de retraités parisiens qui l’avait accroché dans leur résidence secondaire située dans la banlieue de Nantes. Le samedi, je prends ma voiture et me rends sur place. Après Angers je quitte l’autoroute et fais un arrêt sur une aire de parking afin de changer les plaques de ma voiture, celles du Luxembourg étant très repérables. Je possède un modèle de grande diffusion qui passe inaperçu, surtout dans une grande ville.
Je repère la maison, située en retrait du centre de l’agglomération dans un lieu très calme. Dans la journée du dimanche je fais un petit tour pour me familiariser avec les lieux et décide d’intervenir le soir même. Les propriétaires sont présents mais ils doivent repartir très vite. À une heure du matin, je gare ma voiture à ...
... environ deux kilomètres de la maison et sors mon vélo pliant qui me servira pour m’approcher. J’enfile rapidement ma tenue de travail, collant intégral, cagoule, baskets et gants, noirs bien entendu.
Un quart d’heure plus tard, je suis arrivé et cache mon vélo dans un fossé. J’enjambe la clôture et me dirige silencieusement vers l’arrière de la maison. Je n’ai vu aucune voiture dans la cour, les volets sont fermés et je suis donc certain que les propriétaires sont absents. La serrure de la porte de la buanderie ne résiste pas longtemps et j’entre, prenant soin de refermer derrière moi. J’allume ma petite lampe torche afin de me diriger vers le salon où le tableau doit se trouver. En quelques instants, j’y suis arrivé et vois le tableau accroché au mur. C’est une petite pièce de 40 cm sur 60. Je le décroche et commence à en retire le cadre pour le rouler et le transporter plus facilement. Soudain, la lumière s’allume et une voix féminine me crie :
— Ne bougez pas, je suis armée.
Je reste pétrifié et repose le tableau sur une commode.
— Retournez-vous lentement.
Je ne maîtrise pas la situation et suis donc contraint de suivre les instructions données. Je me retourne et découvre une femme d’environ 60 ans, vêtue d’une chemise de nuit et qui tient fermement à la main un fusil de chasse. La personne semble savoir se servir du fusil et le ton de sa voix est déterminé.
— Vous souhaitez nous emprunter ce joli tableau qui nous a coûté fort cher, c’est pour votre ...