1. DAMIEN VI


    Datte: 08/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds

    ... que nous ne sommes pas seuls et qu’il est en train de me donner en spectacle. Mais en même temps, je refuse de reconnaître les faits.
    
    - Couche toi sur le lit ma salope. Ecarte bien tes cuisses. Laisse pendre tes jambes de chaque côté du lit.
    
    Il dit quelque chose en arabe. Un mouvement furtif dans la pièce. Des raclements sur le sol puis près du lit. J’ai le visage plaqué contre le grabat, je ne peux rien voir. De toute manière, je refuse de voir.
    
    Un corps sur le mien. Pas celui de Mourad. Bien plus léger. Plus vif. Tout de suite une queue impatiente qui cherche l’entrée. Un gland qui se pose contre mon anus. Une poussée. Maintenant mon cul se dilate sans problème. La bitte de l’inconnu entre sans problème. Il s’agite sur moi. A peine une minute avant de me remplir. Il se lève en riant d’une voix juvénile.
    
    - Reste comme ça. C’est pas fini.
    
    Un autre me couvre. Cherche la voie. La trouve rapidement et me plante son sexe en couinant de joie.
    
    - Tu sais ce que tu leur as dit tout à l’heure. Tu leur as dit que tu étais une pute. Une chienne qui adorait se faire niquer. Tu leur a demandé de te baiser à la chaîne. Tu leur as dit que c’était gratuit et que tu voulais leurs queues. Chez à partir de treize ans on est majeur. On commande les femmes. Alors tu dois leur obéir. C’est un honneur pour une chienne comme toi de leur faire découvrir leur future vie sexuelle avec des femmes.
    
    J’ai serré les dents quand le troisième m’a sodomisé. Sa bitte était plus grosse que ...
    ... les deux précédentes. Il a mis plus longtemps à jouir. Des flots épais ont remplis mon ventre. J’avais mal. J’ai crié quand un quatrième s’est couché sur moi et m’a enculé violemment.
    
    - Tu peux crier. Ils s’en foutent, ça les excitent de t’entendre gémir comme une fatma. C’est dommage que tu ne peux pas les voir. Ils sont plein de sève. Les premiers qui t'ont niqué rebandent déjà.
    
    Je sentais mon cul endolori recracher le sperme. Je pétais et ils riaient. Je ne sais pas combien de fois ils m’ont niqué. Ni combien ils étaient. Cela m’a paru interminable et je ne sentais plus mon cul. Je ne savais pas pourquoi les larmes coulaient qu’ils jouissaient dans mes intestins. Une odeur de merde flottait dans la pièce. Je n’avais plus conscience du temps. Je serrais les dents à chaque intromission. Les sexes qui pourfendaient mes intestins me semblaient de plus en plus gros. Mes mains agrippaient les bords du lit de toutes mes forces. Je crois qu’à un moment, je me suis évanoui.
    
    Puis plus personne ne s’est couché sur moi. Je n’avais pas la force de me lever. J’avais envie de vomir. Malgré mon état, je savais qu’il y avait encore du monde dans la pièce. Mais personne ne parlait. Juste des soupirs et des bruits de respirations.
    
    Mourad a pris un gros épis de maïs dans le stock et a retourné les feuilles de protection et les filaments. Il a tiré mes cheveux m’obligeant à lever la tête. Il a bien vu que j’avais pleuré. Il a placé le légume devant ma bouche.
    
    - Suce le. Suce le ...
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