Il n'y a pas que les mouches qu'on...
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
couplus,
cocus,
inconnu,
vacances,
pénétratio,
fsodo,
couple+h,
Auteur: Pedennasi, Source: Revebebe
Samia et Didier étaient en vacances dans un village de la France profonde où ils avaient loué une petite maison, confortable, avec terrasse et piscine. Lors d’une chaude soirée de juillet, ils décidèrent de s’encanailler et d’aller au bal du village. La fête populaire battait son plein ; Samia et Didier dansaient comme des fous.
Ils étaient jeunes, ils étaient beaux et pleins de cette énergie propre à leur âge. Ils auraient bientôt trente ans et, après leur BTS, ils avaient facilement trouvé un job dans l’industrie automobile. Didier était grand, karatéka, et de nombreuses femmes – jeunes ou moins jeunes – n’avaient jamais résisté longtemps à son charme et, après avoir tâté de son corps musclé et goûté à ses caresses, elles avaient même, parfois, tendance à vouloir prendre un abonnement quand il ne leur proposait qu’un voyage simple. Samia était plus petite, mince, le ventre hospitalier, les seins généreux, mais fermes, que quelques connaisseurs avaient eu la chance de pouvoir effleurer, peloter, sucer, car elle était bonne fille, peu avare de ses charmes et qu’elle aimait beaucoup, passionnément, faire plaisir…
Justement… alors qu’elle se déhanchait en face de Didier, Samia s’aperçut que l’un des villageois la regardait avec insistance, manifestement très intéressé par les mouvements de ses seins, libres sous une robe légère, et de ses fesses, fermes et toniques. Il était aussi jeune que Didier, mais moins grand, moins beau aussi, mais il se dégageait de son corps ...
... robuste, de son visage, de son regard, quelque chose de brut, de sauvage, qui la troubla.
Lorsqu’ils se rassirent, elle fit part à son compagnon de son émoi. En homme galant et mari prévenant, Didier lui proposa de la laisser vérifier l’exactitude de son sentiment, éventuellement par une séance de travaux pratiques. Il sortit de la salle des fêtes et s’en revint chez eux.
Cédric, le jeune paysan, voyant que Samia était seule et qu’elle semblait s’ennuyer, s’empressa de l’inviter à danser. Il se révéla être un bon danseur qu’elle suivit avec entrain et confiance. Il plaquait son ventre contre celui de la jeune femme, et elle en vint à se demander, moderne Mae West, s’il avait dans la poche une arme (de poing ?) ou s’il était tout simplement content de danser avec elle… En tout cas, son arme semblait être d’un calibre respectable !
Chauffée, excitée, Samia proposa à Cédric de sortir prendre l’air, proposition qu’il accepta avec empressement. Ils marchèrent côte à côte dans le village ; les mains de Cédric partaient à l’aventure pour frôler, toucher, la taille et les fesses de Samia. Quand Samia lui dit qu’elle se sentait bien à marcher avec lui, ne se sentant plus de joie, Cédric poussa Samia dans le recoin d’une porte complaisante, la prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement. Ses yeux étaient grand ouverts pour se repaître des yeux de la femme qui s’offrait à lui. Ses mains remontèrent la robe pour (enfin !) pétrir énergiquement les fesses de Samia, à nu (à poil ?). ...