COLLECTION ESCORTE BOY. Mamy est gourmande (1/1)
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
- Alors, je peux faire ce que je veux, vous allez réaliser tous mes fantasmes ?
- Dans la mesure de la décence tous ce que tu veux.
Pour commencer, on se dit, « tu, » tu verras ce sera plus facile pour avoir des rapports harmonieux au plus près de tes envies.
- Qu’entends-tu par limite de la décence ?
- Pas de manche à balai dans le cul.
Ça m’est arrivé une fois, une femme dans tes âges a voulu me sodomiser avec son balai à chiotte.
- De quel côté, sinon ça doit faire mal.
- Veux-tu que j’aille chercher le tient ?
- Ça ne va pas, j’ai des fantasmes c’est pourquoi tu es là, mais les balais de chiotte dans le cul, à d'autres.
- Donne-moi l’un de tes fantasmes, je verrais ce que je peux faire !
- Le premier, tu viens déjà de le réaliser.
J’ai toujours fantasmé sur les noirs et tu es là.
- Ça c’est facile pour moi, grâce à papa et maman qui étaient aussi blacks que moi.
- Tu sais dans notre échange téléphonique que je souhaite que ta verge soit comme celle de certains noirs que j’ai vus sur Internet, grosse, je dirais même très grosse, longue très longue.
- Je vois que tes yeux brillent quand tu prononces grosse et longue.
- Puis-je la voir ?
- Bien sûr, dès que nous aurons réglé le petit problème de l’enveloppe que je t’ai demandé.
- C’est vrai, je manque à tous mes devoirs, elle est là sur la table du salon.
Si je te la donnais moi-même j’aurais l’impression d’être une salope.
Il prend l’enveloppe que j’ai posé et ...
... la place dans le poche intérieur de sa veste.
J’ai bien choisi l’homme que je souhaite m’offrir pour mes 60 ans dont cinq de veuvage.
Carrure d’athlète c’est ce qui m’avait séduit après que je me suis logée sur le site que Geneviève mon amie m’avait dit consulté et utilisé.
Je fantasmais sur les noirs, elle s’est sur les Maghrébins.
Elle a eu un amant après son mariage qui était marocain, il était venu leur construire un garage jouxtant leur villa.
C’est le troisième jour à ce qu’elle m’a raconté qu’elle lui a amené un thermos de café.
Elle était devenue folle, mais elle ne le regrettait pas.
Il l’avait baisé sur le tas de sable en lui enlevant simplement sa culotte.
Le soir, elle s’était couchée et malgré la douche qu’elle avait prise comme chaque soir, dans la nuit, Paul son mari s’était plein qu’il y avait du sable dans leur lit.
Ça ne l’avait pas arrêté, le lendemain elle avait pris soin de se faire prendre sur un tas de palettes qui avait servi à livrer les tuiles qu’il venait de placer sur le toit.
Pendant la semaine qui a suivi, tous ce qu’il voulait, elle le faisait.
Jusqu’à baiser sur la table de leur cuisine.
Le tas de sable avait disparu ayant servi à faire le ciment et le crépi et l’incident du sable ne s’était pas reproduit.
Les travaux terminés, à part le souvenir de son sexe qui la défonçait comme lui seul savait le faire, elle était revenue à des baises avec Paul pleine de rancœur car il ne savait pas y faire avec les ...