1. La bourgeoise et le marabout (4)


    Datte: 07/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... sexes tendus. Leurs parfums sont effectivement un peu différents. Puis, j’ouvre grand la bouche et je gobe le premier sexe qui se présente. Je le déguste comme j’ai vu faire ceux qui dégustent les vins. Je fais rouler le gland dans mon palais, je l’entoure de ma langue, je le tète et j’y décèle un fin goût de noisette. Puis, c’est la seconde queue qui se présente et je procède aux mêmes opérations de reconnaissance. La situation est très excitante et je découvre combien il est si agréable de faire abstraction de tout ce qui est autour soi pour se concentrer exclusivement sur ses impressions. « Maître, votre sexe est le second que j’ai savouré » dis-je avant de poursuivre « Je l’ai reconnu à sa texture et à son goût musqué même si je dois avouer que la belle taille de votre sexe, que je connais maintenant bien en bouche, m’a facilité un peu la tâche. Mais celle de votre assistant est également intéressante ».
    
    Je suis maintenant entraînée vers la table d’auscultation mais, avant que l’on m’y fasse allonger, je devine que l’un des deux hommes s’y installe avant moi après avoir retiré sa djellaba. Lorsque je monte sur la table, deux mains me font comprendre que je dois venir sur le corps déjà installé et bien vite je suis empalée sur la queue que je reconnais être celle de monsieur Coulibadou. Je suis étendue de tout mon long sur lui et ses simples coups de reins suffisent à m’électriser tout le corps. Ma bouche se plaque sur la sienne et je m’abandonne à ses puissants coups ...
    ... de boutoir. Soudain, ses deux mains viennent me caresser fermement les globes des fesses puis les écartent lentement. Je sens alors un visage se coller contre mes fesses et une langue brûlante commence à s’insinuer dans la raie. C’est la première fois, je cherche à bien resserrer les fesses mais les mains fermes de mon marabout m’en empêchent. Les coups de queue dans la chatte me faisant le plus grand bien, je commence à me détendre et la langue de l’assistant en profite pour me fouiller un peu plus loin. Puis, c’est son gland qui remplace sa langue sur ma rosette après qu’il m’a enduit d’un liquide visqueux un peu gras.
    
    Me voilà maintenant empalée sur mon marabout qui a arrêté ses mouvements de bas-ventre mais c’est l’assistant qui donne dorénavant le rythme de la saillie. A chaque fois qu’il cogne au fond de moi, le gland de monsieur Coulibadou fait de même au fond de ma chatte. Au bout d’une vingtaine de minutes d’un tel traitement, je suis aux anges ; cette première sodomie me fait découvrir une jouissance inconnue. Je me laisse aller entre les mains et sous les assauts de ces deux hommes à qui je m’abandonne sans retenue. Tous mes anciens préceptes relatifs aux plaisirs d’une femme et à la sexualité entre époux sont balayés en ces instants d’égarement. Pour moi, je ne trompe pas mon mari, comme je ne l’ai jamais fait depuis notre mariage. Il n’y a nul sentiment entre moi et ces deux hommes. Ce n’est qu’une affaire de plaisir physique, presque d’accouplement bestial ; ...