1. Monique, si tu la veux, tu la niques (1)


    Datte: 07/03/2019, Catégories: Hétéro Auteur: ERIC64, Source: Xstory

    Cet épisode de ma vie remonte à une quarantaine d’années.
    
    J’avais alors vingt-et-un ans, et étais récemment embauché dans une grande boite.
    
    C’était assez cool, et on pouvait s’offrir des pauses café. Il nous arrivait de se retrouver entre hommes, et j’entendais alors parler de Monique. A les écouter, ils ont tous eu une aventure avec elle. Un jour, il y a en même un qui m’a demandé si je me l’étais faite. Après ma réponse négative, il m’a dit que malgré son âge je devrais essayer, que c’est un super bon coup.
    
    Il m’arrive de la croiser, et c’est vrai que bien qu’ayant la quarantaine bien sonnée, l’âge de ma mère, elle est désirable. Belle plante, bien en chair sans être grosse, et toujours habillée sexy: large décolleté, mini jupe, talons hauts.
    
    Un matin, je suis prêt à entrer, lorsqu’elle arrive, en vélo. Je maintiens la porte ouverte pour la laisser passer, elle me frôle, et sans pouvoir me contrôler je passe ma main sous sa jupette, et la plaque sur ses fesses charnues. Elle se retourne, et me sourit:
    
    — Eh, mais c’est qu’il se dévergonde ce petit jeune!
    
    — Excuse moi, je ne sais pas ce qui m’a pris.
    
    — Mais il n’y a pas de mal, au contraire. Je me demandais si tu allais te décider un jour! Tu as entendu parler de moi et de mes services, je suppose?
    
    — Oui, il y en a qui aiment s’en vanter.
    
    — Ca te plairait que je te rajoute à ma liste?
    
    — Oui, mais je ne sais pas si je serais à la hauteur.
    
    — Ne t’inquiète pas pour ça, tu me laisses faire et ça ...
    ... ira. Viens, on va aller aux toilettes et tu vas me montrer ce que tu as à m’offrir.
    
    Je la suis et on s’enferme dans une cabine. Elle s’accroupit sans perdre de temps, et baisse mon pantalon et mon slip. J’ai la bite qui bande mou, elle s’en saisit, la caresse, la prend en bouche. Je bande dur, mais sens que ça vient très rapidement:
    
    — Doucement, tu vas me faire jouir.
    
    — Tu es un rapide, toi! Vas-y, laisse toi aller, tu peux éjaculer dans ma bouche.
    
    Elle me reprend, me suce en gémissant, je geins moi aussi et je décharge. Elle avale tout.
    
    Elle se recule, me regarde, et je suis tout confus:
    
    — Excuse moi, je n’ai pas pu me retenir.
    
    — Ne t’en fais pas , j’aime sucer, mais j’aime aussi les pipes éclair. Tu penses rebander d’ici une heure?
    
    — Oui, sans problème.
    
    — Parfait, je t’appelle et on remet ça, en espérant que tu sois un peu plus endurant.
    
    — Ok, ça marche.
    
    Elle s’en va, et j’attends deux minutes pour sortir à mon tour.
    
    Un quart d’heure plus tard, elle m’appelle et me demande de la rejoindre dans son bureau. Je suis surpris de son appel si rapide:
    
    — Je veux bien, mais tu m’avais dit dans une heure.
    
    — Je sais, mais j’aurais une réunion que j’avais oubliée. Mais je suppose qu’à ton âge il n’y a pas de souci pour jouir deux fois à la suite.
    
    — Non, effectivement. J’arrive.
    
    Je suis dans son bureau, et elle referme la porte à clé. Elle s’accroupit, et déballe mon sexe:
    
    — Oh mon chéri, elle est trop belle ta bite. Je ne pouvais plus ...
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