1. Une nuit en Grèce


    Datte: 06/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Florence27, Source: Hds

    VACANCES GRECQUES
    
    J'ai passé le mois de juin et juillet dans notre maison de Grèce, sur une petite île du Dodécanèse à quelques encablures des côtes turques, elles furent idylliques, excepté les secousses ressenties à la suite du tremblement de terre de Kos.
    
    Notre vedette qui était amarrée "cul à quai" et j'en profitais pour monter à bord mettre un peu d'ordre.
    
    Est venue aussi se mettre bord à bord et aussi "cul à quai" une vedette presque équivalente à la notre, elle battait pavillon turque.
    
    Parmi les gens à bord, une jeune femme dans les 35 ans, blonde, de petits seins aux longues pointes bien visibles sous son chemisier très fin et largement ouvert; un short d'un joli bleu ciel extrêmement court et dont la couture soulignait sa fente intime, détail que mon œil perspicace avait tout de suite remarqué. Ses jambes, très bronzées, étaient mises en valeur par une paire de tropéziennes et ses ongles vernis d'un bleu assorti à son short.
    
    Notre bateau étant immatriculé à Kingston ils me saluèrent en Anglais, mais la jeune femme, Afife (prénom d'origine arabe qui signifie chaste), la suite montrera que ce prénom lui allait comme un collier de perles à une truie, m'ayant entendu parler français avec un ami elle continua dans cette langue qu'elle maîtrisait fort bien.
    
    Ils étaient sympathiques, c'était la fin de l'après midi.
    
    Je leur ai proposé de venir prendre l'apéritif avec nous dans un café du port où nous avions nos habitudes.
    
    Installés confortablement ...
    ... j'ai remarqué qu'elle avait demandé à un ami de changer de place afin de se trouver en face de moi. Pendant que la conversation allait bon train elle ne cessait pas de me regarder et croissant et décroisant les jambes, à chaque fois qu'elle faisait ce mouvement son pied dont elle avait quitté la sandale, venait effleurer mon mollet.
    
    Je lui souriais d'un air mutin et voyais dans ses yeux qu'elle n'y était pas insensible ce qui me laissait à penser que son mouvement n'était pas volontaire.
    
    Pour en avoir le cœur net je lui ai pris la main en disant:
    
    - Ton vernis est ravissant ainsi que ta bague.
    
    - Tu aimes ?
    
    - Beaucoup et tes doigts sont très fins.
    
    Ma main tenait la sienne en la caressant sans qu'elle la retire et semblait même y prendre un certain plaisir.
    
    Les heures passant celle du dîner arrivait, ses amis me demandèrent si je pouvais leur recommander une taverne ? Ce que je fis bien volontiers; ils me proposèrent de me joindre à eux mais Afife d'un léger mouvement de tête et d'un regard qui en disait long me fit comprendre que je devais décliner leur invitation.
    
    - Je vous remercie mais suis un peu fatiguée et vais me contenter d'un yiro avec un autre ouzo.
    
    - Je vais tenir compagnie à Florence dit Afife, moi aussi suis un peu fatiguée.
    
    Je lui ai fait un grand sourire d'un air entendu…..
    
    J'avais envoyé ses amis dans une excellente taverne mais à l'autre bout de l'île.
    
    - Je suis heureuse que nous soyons enfin seules me dit-elle en changeant de ...
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