Avec mon fils chez ma sœur (2) - Histoires de Sexe

Avec mon fils chez ma sœur (2)

... ledit boxer fait une bosse conséquente. Je me surprends à imaginer la taille du sexe de mon fils. J’en rougis, même après ce que je viens de vivre dans la salle de bains.

En fin d’après-midi, ma sœur profite du fait qu’on est un peu isolées pour me dire:

— Alors, ça fait du bien ?

— ...

— Allez, fais pas semblant, raconte ta douche avec Ber !

— Bon, OK, j’en avais un peu besoin...

— Je me doute, avec un spécimen comme ton mari, ça doit pas être la fête tous les jours.

— Ni toutes les années, je t’avoue. En fait, ça fait dix ans que plus rien !

— Ouah, dix ans ? Et tu laisses faire ? Une branlette de temps en temps tout de même ?

— Ben, non, même pas. On tombe vite dans la routine, je dois dire...

— Bon, allez, il faut en sortir aussi ! Et Ber m’a dit que tu te laisses aller ?

— Comment ça, tu parles de mon poids ?

— Non, ton poids, j’ai bien vu. Je parle de tes poils.

— Ah oui, ça fait longtemps que je m’en occupe plus.

— Eh bien, action ! On va s’en occuper illico.

— Non...

— Si !

Et voilà comment je me retrouve à la salle de bains, jambes écartées devant Anna qui m’élague toute la touffe, me laissant juste le même petit triangle de poils ras que j’avais il y a si longtemps. Elle en profite pour me caresser un peu le clito au moment de me passer la mousse à raser, puis encore pour la crème apaisante, mais elle n’insiste pas, ne se lançant pas dans des festivités sexuelles pour cette occasion. Mais cela m’émoustille tout de ...

... même bien, et je ne résisterais certainement pas à une attaque de sa part. Tout au plus se permet-elle un petit bisou sur mon triangle de poils à la fin de l’opération.

Quand nous ressortons rejoindre les autres pour commencer l’apéro, je m’aperçois enfin dans un miroir du salon que j’ai les tétons bien érigés. Mais c’est trop tard, tout le monde m’a vue. Donc je laisse aller en espérant que mon fils et Lola ne l’auront pas trop remarqué, et assez vite je sens que mon esprit se calme et que ma poitrine redescend.

Le soir, même ambiance que la veille, assez soft finalement. Sauf qu’au moment d’aller au lit, Anna fait en sorte que les enfants soient suffisamment devant nous dans le couloir, et attend qu’ils aient bien fermé les portes de leurs chambres, pour me prendre par la main au moment où je vais entrer dans la mienne, et m’attire pour me faire entrer dans la sienne. Je m’aperçois que je n’ai pas envie de résister, bien au contraire.

C’est elle qui m’entreprend en premier de face dès la porte franchie et fermée, suivie très vite par Ber qui se colle derrière moi. Leurs quatre mains et la bite calée le long de ma raie me font vite monter dans les tours.

Anna commence par m’embrasser tout en me caressant l’entrejambe, pendant que Ber me malaxe les seins; plaqués à mon dos avec sabine qui commence à coulisser doucement de haut en bas contre mon sillon fessier, puis à l’horizontale entre mes cuisses le long de ma fente, de l’anus au clito.

Je reprends vite du ...