Véro, 32 ans plus tard/5
Datte: 06/03/2019,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Mature,
Auteur: ahtile, Source: xHamster
... fais toujours beaucoup de sport?
"Moins, beaucoup moins, mais toujours un peu, pour m'entretenir"
"Tu es beau, toujours aussi beau, moi, j'ai moins bien vieilli." et me rejoint dans la douche.
Elle passe ses bras autour de mon cou et m'embrasse langoureusement. Mes mains se posent immédiatement dans son dos et descendent sur ses fesses. Elles sont moins ferme, à peine plus grosse, mais toujours aussi douce.
J'att**** du savon et commence à la caresser avec, le dos, les épaules, les hanches, les fesses, tous son corps y passe, mes mains se faufilent sur elle comme pour faire un état des lieux précis. Elle se laisse savonner et caresser le corps entier par mes mains plus baladeuses que travailleuses. Elle sourit et gémit doucement. Nous nous rinçons, nous essuyons mutuellement. Elle est délicate, et n'a toujours pas, contrairement à moi, posé sa main sur mon sexe maintenant totalement tendu.
Elle s’assoit sur le lit, me regarde et me demande de m'approcher. Une fois devant elle, sa main s'avance lentement vers mon sexe et c'est du bout des doigts qu'elle me caresse, comme s'il s'agissait d'un objet sacré et fragile. Ses yeux sont rivés sur mon membre rigide pour elle, ses doigts se promènent, sa main finit par passer entre mes cuisses pour se refermer sur mes grosses couilles pendantes. Elle lève les yeux et me dit:
"Tu ne peux pas imaginer le nombre de soir où je me suis endormit en pensant à toi et à ta queue."
" Et bien, ma belle, ce soir on est ...
... là."
Sa deuxième main vient saisir le manche dressé devant elle, sa bouche s'entrouvre en avançant et se plaque sur mon gland. Je sens sa langue qui glisse et tourne, la pointe vient promener sur mon ourlet, titiller mon frein puis remonte jusqu'à l’urètre. Elle prend tout son temps et savoure mon gland pour mon plus grand bonheur. Sa bouche s'ouvre, ses lèvres s'étirent, se distendent, et font disparaitre en un seul mouvement la moitié de ma virilité. Dès le deuxième mouvement vers l'avant, mon gland s'écrase au fond de sa bouche et glisse dans sa gorge. Elle n'a pas de haut-le cœur, elle salive énormément, pleure légèrement, mais aucun signe nausée. Sa bouche coulisse régulièrement et lentement sur toute la longueur de mon membre, elle se délecte, moi je savoure.
Après quelques longues minutes de ce délicieux supplice, elle libère ma queue sentant certainement que j'allais me déverser en elle et me dit:
"Dans mes pensées nocturnes, je rêvais de jouir par le cul. Tu es le seul à m'avoir fait atteindre le 7 ième ciel par là, alors si tu veux bien, sodomise moi."
"Tout ce que tu voudras ma belle. Mets toi à genoux"
Elle s'installe sur le bord du lit, les fesses tendues et offertes. Je m'agenouille, mon visage est à la hauteur de ce superbe cul, qui dans cette position, ne laisse paraitre aucun signe de l’âge de sa propriétaire. Mes lèvres se posent sur ses fesses et après avoir posé un baiser sur chacune d'elles, la langue vient directement se poser contre son œillet ...