1. Le Hongrois


    Datte: 06/03/2019, Catégories: hh, grossexe, Oral préservati, hdanus, hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... l’instant, il force son gland vers mon intimité, et moi je pousse pour ne pas être blessé. Dieu qu’il est gros ce Hongrois, son nœud est un marteau-pilon ! Je souffle en poussant, puis il finit par me pénétrer. En précaution, pour ne pas être défoncé, ma main enserre sa bite et la bloque au début de la hampe un instant pendant qu’il jure dans sa langue, de plaisir je pense, de se retrouver enfin étranglé dans un cul serré, étroit. D’ailleurs, avec un tel diamètre, tous les culs doivent être étroits !
    
    Il profite que ma main relâche son étreinte pour plonger lentement. Il semble aimer baiser, et n’a pas l’attitude d’un bourrin, sans quoi il aurait au moins essayé de forcer. Une grosse queue affole, et trouver un gars suffisamment maso pour se faire dérider la rondelle ne doit pas lui arriver tous les jours.
    
    Je lui demande de rester calme, de respecter mon cul, faisant de petite poussée pour m’habituer à son pal. Plus je me dilate, plus il se promène, et assez rapidement, il coulisse sur la longueur, mon petit trou devient un bon trOu, tout naturellement. Sa bite m’excite, me pousse à l’action, me transporte.
    
    J’adore sucer, c’est certainement ce qui me donne le plus de plaisir dans le sexe entre hommes. Découvrir un sexe, le désirer, le goûter des lèvres, puis lentement l’emboucher… Mais certaines queues, de par leur côté hors du commun, me font les désirer entre mes fesses. Quelques fois, j’ai cédé devant l’insistance de certains hommes à vouloir à tout prix me ...
    ... prendre, tant ils me promettaient monts et merveilles. Le drame est qu’une queue moyennement membrée ne me donne pas ou peu de plaisir, aussi doué que le soit son propriétaire. Seule une grosse queue bien large, lorsqu’elle remplit bien mon ampoule, me fait frissonner, vibrer, voire… éjaculer spontanément. Et ma découverte du jour me rappelle Patrick, dans ses formes comme dans sa façon de me mettre, de me pénétrer, d’imprimer le mouvement.
    
    Je n’avais jamais retrouvé une telle matraque depuis ce merveilleux amant. Ne serait-ce qu’en hommage à ce bon vieux temps, je veux bien qu’il m’encule, qu’il me fasse crier. Je veux tenir ses couilles entre mes jambes, et je voudrais pouvoir le sucer en même temps. Il me parle en hongrois, puis baragouine des trucs du style « Toi bon cul, toi prendre gros ! »
    
    — Tu m’encules bien, continue, baise-moi à fond !
    
    Je pense que de toute façon, même s’il ne comprend pas tous les mots, il en saisira la teneur, et répondra à l’invitation.
    
    Il me met d’une manière continue de longs coups de barre, navigant dans mes entrailles librement. Lorsqu’il recule, son gland marque l’arrêt une fraction de seconde contre mon sphincter et repart jusqu’à ce que ses burnes tapent les miennes. Autant il semblait presque jouir entre mes lèvres, autant là, dans mon cul, il est plutôt endurant. C’est un queutard, un baiseur.
    
    Je le fais sortir de moi, j’ai besoin de bouger, et surtout de le sucer. Je crache grassement un paquet de bave sur son nœud pour bien le ...