1. Une tranche de vie 9


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... agréable à regarder, elle devait être adorable en blouse d’infirmière. Je la faisait se tourner et l’attirais vers moi. J’étais collé contre son dos. Mes mains se glissant sous ses bras prenaient ses seins et les caressais. Ses mais se posèrent sur les miennes et accompagnèrent mes caresses. « Prends tes seins que je caresse tes mamelons. Ils n’attendent que ça » Je pris ses mamelons les serrant et les faisant tourner entre pouce et index ce qui entraîna chez Mathilde de petits gémissements et une accélération de sa respiration. Enfin prenant ses mains je les faisais descendre sur son ventre, puis vers et sur sa chate en lui disant : »Caresses toi, je veux te gouter, je veux te lécher ton minou » Elle commença à se caresser, puis s’arrêtant elle me dit : « Non, c’est à toi de me caresser de me prendre avec tes doigts comme hier, c’est bien meilleur et tu l’as si bien fait, ça m’a fait jouir, j’ai aimé, recommences », « Tu veux vraiment », « Oui, s’il te plait, c’était tellement bon », « OK, vas t’asseoir sur la table, ouvres toi, ouvres ton minou que je vienne te prendre avec ma langue ». C’est ce qu’elle fit, les jambes bien écartées, elle était grande ouverte. Je me mis à lui caresser les cuisses en m’approchant de sa chatte, puis en m’éloignant, à ce petit jeu, je savais que plus ça allait, plus elle se tendait, je l’entendais à sa respiration, chaque fois que mes mains s’approchaient de sa chatte, elle espérait que j’y rentrerais et je m’éloignais. Elle commençait à ...
    ... sérieusement s’humidifier. Après quelques minutes de ce petit jeu un doigt parcourt le sillon rosé tendre et mouillé de sa chatte. Et mon doigt s’humidifiant je me risquais à aller jusqu’à son petit trou, simplement en le mouillant. Sa respiration devenait de plus en plus rauque et elle me dit « Dépêches toi de me prendre, rentres, je sens que je vais jouir » Je rentrais deux doigts dans son minou et multipliais les allers et retours et en même temps je léchais je haut de son minou, elle se cabra, poussa un cri de jouissance et m’inonda de son jus que je léchais et buvais. Elle reprit ses esprits « C’était bon, même meilleur que hier » et elle posa ses lèvres sur les miennes : »Je sens mon odeur, tu aimes ? » Etant revenu sur terre nous avions à préparer le retour des hommes du chantier et surtout le départ vers 13,00 h en direction de la capitale. Ce que nous avons réussi à faire.
    
    Pour en finir avec jolie Mathilde, je montais régulièrement au campement avec Jean ce qui nous permettait à toutes deux de nous laisser entraîner par nos tendances, momentanées, saphiques, lorsque nos maris étaient au loin sur le chantier. Le chantier terminé ils partirent sur un autre chantier et les hasards des mutation firent que jamais nous nous sommes revus. C’était une fille sensuelle, curieuse des choses du sexe qui l’aimait et l’appréciait. Mais c’était peut-être mieux ainsi.
    
    La deuxième ou troisième fois que je montais au chantier avec Jean, à peine arrivée alors que nous étions dans la ...
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