1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (1)


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Erotique, Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... l’affût de mon satané gendre qui prend son petit-déjeuner. Je dois dire que je me sens un peu épiée, traquée du regard. Alors pour en avoir le cœur net, à plusieurs reprises, je l’observe discrètement du coin de l’œil et stupeur, à chaque fois, il a les yeux plongés sur moi. Une fois sur mes seins, une fois sur mes fesses... Je n’ose pas y croire, je me fais mater par un gamin de vingt ans, qui plus est petit ami de ma fille.
    
    Dans ma naïveté en matière d’hommes et mon refus de croire que je pourrais être objet de désir, je parviens à me convaincre que ce n’est qu’un hasard, que son regard se perd et qu’il n’y a aucune arrière-pensée.
    
    Puis soudain, alors que je bataille pour attraper des bocaux en hauteur, j’entends sa chaise se déplacer et je le sens se rapprocher de moi. Sans que j’aie eu le temps de me retourner, il se colle à moi et tend la main pour attraper le bocal. La pression toute en longueur et en rigidité que je sens contre mes fesses ne me laisse plus de doute ! Ce petit con bande contre mon cul !
    
    — Heu... Mais... Jordan qu’est-ce que tu fais la ?
    
    — Et bien, je vous aide c’est tout.
    
    — Ah... Ben... heu, c’est bon, ça ira merci, tu peux te rasseoir...
    
    — Pourquoi, on n’est pas bien là ?
    
    — Non, non, j’avoue, je ne suis pas très bien là, recule !
    
    — Attendez, je vais arranger ça.
    
    — Je... Je n’ai besoin de...
    
    Pas le temps de finir ma phrase que ce grand gaillard hébété pose le bocal et passe ses mains autour de ma taille et les remonte vers ...
    ... mes seins. Oh malheur, il est en train de me malaxer la poitrine !
    
    — Jordan, je t’ordonne d’arrêter ça tout de suite !
    
    — Chut... j’ai vu comment vos seins pointaient hier matin. J’ai très envie de vous Marie...
    
    Instantanément, il précipite sa bouche sur mon cou et commence à l’embrasser tout en continuant son pétrissage de mes gros seins. Aussitôt, un frisson m’envahit et la chair de poule gagne le haut de mon dos, mes épaules, ma nuque, jusque sur mes seins qui se contractent et se raidissent.
    
    Ses lèvres sont brûlantes et humides à la fois, elles parcourent ma nuque, mon cou et remontent sur mes oreilles qu’il se met à lécher finement.
    
    J’ai envie de lui hurler dessus, me dégager de son étreinte et le gifler violemment. Mais je n’en ai pas la force, ce frisson me parcourt encore et descend jusque dans mon bas-ventre.
    
    Silencieuse et immobile depuis plusieurs secondes, je parviens enfin à me ressaisir au moment où ses doigts s’emparent avec fermeté de mes tétons durcis.
    
    — Stop ! Ça suffit ! (Je me tourne rapidement et le repousse bien plus mollement que je n’aurais souhaité le faire, rouge de colère, et je dois bien l’avouer, de désir honteux)
    
    — Regarde ce que j’ai pour toi Marie...
    
    Disant cela, il tire sur l’élastique de son boxer et dévoile sa monstrueuse verge, raide, injectée de sang et légèrement courbée. Je dois dire n’avoir jamais rien vu de pareil et n’avoir jamais imaginé me retrouver un jour face à ça !
    
    Je me revois alors à ce moment-là ...
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