1. Toujours le corbeau...


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... énergique. Elle ne put contenir un petit cri. Ce fut l’instant que choisis ma femme pour se laisser tomber à mes pieds. Je sentis son souffle court sur ma verge tendue avant que ses lèvres se refermèrent sur moi. Elle fit allé et venir sa bouche le long de mon sexe. Je ne fis rien pour étouffer mes gémissements. J’en rajoutais même. Comme le corbeau me l’avait dit au téléphone. Les voisins comme prévu portèrent leurs regards de notre côté.
    
    C’était l’heure de vérité. Là où tout allait de décider ou pas.
    
    - Le spectacle est à votre goût. Fit la voix de l’homme.
    
    - Oui pas mal. Répondis-je.
    
    - Mais qu’est-ce que tu fais ? Fit ma femme plus bas, en recrachant ma verge humectée de salive.
    
    - Venez donc nous rejoindre, voulez-vous ? Fit de nouveau la voix de l’homme qui se nommer Olivier.
    
    - Ce serait avec plaisir. Lançais-je.
    
    - Mais ça ne va pas ! Répliqua ma femme. Nous ne sommes pas en tenu.
    
    - Parce que ils l’ont eux la tenu ? Aller vient.
    
    - Non ! Je n’y vais pas.
    
    - Arrête de faire l’imbécile, veux-tu ! Ils t’ont vue.
    
    Je la pris par la main et l’entrainais jusqu’au jardin des voisins qui n’étaient pas les voisins, mais un couple en mal de sensation forte.
    
    - Bonsoir. Olivier et Noémie.
    
    - Enchantés. Alain et Cathy.
    
    Un court instant, un silence presque gêné s’installa, personne se semblant comment poursuivre la conversation.
    
    - Vous êtes… ravissants, lança Oliver.
    
    - Merci. Vous êtes de votre côté pas mal ! Répondis-je.
    
    Tout en parlant, ...
    ... nous avions totalement oublié que nous étions nus. Il nous invita à déguster une coupe de champagne. Pour ce faire il prit place à côté de ma femme. Au bout de la deuxième bouteille nous nous sommes tous dégelé. Au point de poser sans préambule sa main sur la cuisse de ma femme, sans qu’elle ne fasse quoi que ce soit pour l’ôter. La partie était lancée.
    
    Je regardais les doigts courir sur sa peau. Remontant lentement vers la fourche poilue. Tout en me regardant, elle ouvrit le compas de ses cuisses. Autorisant à la main fouineuse, l’accès à sa fente. Ceux qui lui provoquèrent de légers soupirs. Noémie se leva, et alla s’agenouiller face à ma femme. Sa fente à seulement, quelques centimètres des lèvres de ma Cathy.
    
    Elle me fixa, un regard interrogatif, comme si elle attendait de ma part un signe pour lancer son envol. Un signal que je lui donnais en hochant la tête. Alors doucement, elle approcha ses lèvres d’où s’en sortit une langue dardée qui se posa sur le sexe. Noémie ne mit pas longtemps à laisser échapper un gémissement. Contente d’elle, ma femme croisa mon regard. Un sourire éclairant son visage. Me lançant un clin d’œil coquin.
    
    Je n’étais pas mécontent de moi. Je lui répondis à mon tour avec un sourire, m‘approchant au plus près de l‘action. L’instant suivant, je la regardais explorer l’intimité de Noémie dans les moindres recoins. Allant même jusqu’à déposer de légers bisous sur son œillet. Olivier, comme moi, regardions les deux femmes, puis il m’a murmuré ...
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