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De vierge à décharge de sperme
Datte: 21/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... qu'il était plus intéressé à regarder mes jambes nues et mon décolleté que de parler de toit. Je soupçonnai Paul de l'avoir envoyé. Alors je fus obéissante et j'invitai l'homme à entrer. Je m'assis dans mon déshabillé à côté de lui sur le canapé et je lui demandai de m'en dire plus sur ce qu'il vendait. Tandis qu'il me montrait ses brochures, je croisai et décroisai mes jambes nues. Je fit tourner mes cheveux et je me plaignit que les bretelles de ma nuisette frottaient mon épaule. Alors qu'il bégayait en essayant de m'expliquer son travail, je fis tomber les bretelles et seul la fermeté de mes seins maintint le fin tissu de ma nuisette. Je souris et je dis : - S'il vous plait, continuez Monsieur. Les bretelles me dérangeaient. Il continua à bégayer. Je pressai mon corps contre le sien, en plaçant ma main sur le renflement de son pantalon puis je lui mordis l'oreille. Il ne put se retenir plus longtemps et immédiatement nos lèvres se soudèrent et sa main baissa ma nuisette. Il serra mes seins et les écrasa agressivement dans ses grandes mains. Pendant ce temps je travaillai sur la fermeture de sa braguette pour pouvoir saisir son érection. Il me repoussa sur le canapé et souleva mon déshabillé pour exposer mon entrejambe. Il retira rapidement son pantalon et bientôt sa grosse queue se présenta à l'entrée de ma chatte. Je pensai au plaisir qu'il allait me donner en me baisant tout l'après-midi. Mais après quelques minutes de bourrage de mon sexe, il ...
... éjacula à l'intérieur de mon ventre. J'avais oublié ce que Paul m'avait dit : « Quand tu te donnes trop facilement à un homme, il n'a pas de respect pour toi et il ne te traitera que comme une décharge de sperme. » C'est ce que Paul voulait. L'homme remit son pantalon et rassembla ses brochures puis il partit, penaud, me laissant insatisfaite. Quand Paul revint le soir, je lui dit que j'avais été baisée par son ami qu'il avait envoyé. Il dit : - Mais quel ami? Je venais de baiser un vrai représentant. Je me sentis comme une vraie trainée. Mais cette nouvelle excita Paul qui me fit l'amour longuement en récompense. Ainsi j'acceptai mon nouveau statut. Je devins la cochonne du quartier. Au début, je n'eus que quelques visites : je suçai le facteur, le livreur de l'épicerie, le plombier. Une fois, je m'offris à l'adolescent qui tondait ma pelouse. Une autre fois deux mormons essayèrent de me convertir. C'est moi qui les ai convertis. Tandis que j'en suçai un, l'autre me pris par derrière. Celui-ci me dit qu'il avait toujours voulu sodomiser une femme. Je lui donnai mon gel lubrifiant et il put expérimenter la sodomie pour la première fois. A chaque fois que je laissai un homme abuser de mon corps, mon mari me récompensait le soir en me faisant l'amour passionnément. Avec le temps, les visites d'étrangers augmentèrent régulièrement. De nouveau hommes venaient frapper à ma porte mais les anciens revenaient aussi ou parlaient de moi au centre commercial ou au ...