1. Moins par moins donne plus


    Datte: 04/03/2019, Catégories: fh, couple, cocus, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... m’invitent à descendre pour lui amener à portée de bouche et de langue…
    
    « Ahhhhhhhh… » Heureusement un sursaut me fait retenir ce cri dans la gorge. J’ai bien failli me faire reconnaître lorsque la langue a touché ma chatte. Pour éviter de me trahir, je redescends sur la queue que j’avais quittée pendant mon déplacement. La position a changé. Ce que je tiens dans ma bouche est une autre bite. La courbure est différente.
    
    Maintenant chacun cherche à apporter du plaisir à l’autre.
    
    Pour moi, c’est facile, j’adore qu’on me lèche. Ruis n’est pas avare de ses caresses. Contrairement à mon mari, il me lèche de l’anus au petit bouton. Ses lèvres aspirent le bout de chair et heureusement que j’ai la bouche pleine, car je gronde de plaisir.
    
    Bien sûr, de mon côté, je fais tout pour sucer et pomper le dard que le ventre de Ruis pousse à ma rencontre.
    
    Nous allons bientôt être prêts pour nous posséder. Vais-je venir m’asseoir sur lui ? Va-t-il me renverser et d’un coup de rein m’empaler de son bâton ? Je le suce depuis assez longtemps, il doit être bien préparé. Moi, je coule et il doit être inondé de mon plaisir.
    
    Mais, Ruis en décide autrement. Soudain ses deux mains viennent se saisir de ma tête et entreprennent de forcer ma fellation. Il ne cesse pas de me lécher et chaque coup de langue est maintenant associé à mon avancée. J’étouffe sous sa puissance. La fellation se fait plus profonde. Je cherche ma respiration. Je pleure. À un moment mes lèvres viennent buter sur ...
    ... le pubis et les couilles. Je n’en reviens pas. Jamais je n’avais essayé d’aller si loin avec Pierre. Je pompais confortable, cessant mon avancée dès que je me sentais trop pleine. Ici, Ruis ne me laisse pas le choix. Certainement que cela fait partie de son quotidien avec Roxane. Moi, non. Mais si je proteste, je serai découverte. En plus de la honte de notre échange s’ajouterait la honte de la femme qui fait sa délicate et qui n’assure pas.
    
    Mais la langue de Ruis est aussi très intrusive. Elle m’ouvre la chatte et s’aventure pour mon plaisir. C’est bon. Et puis soudain, la queue s’immobilise. Je comprends trop tard qu’il va juter dans ma gorge.
    
    Non, je ne veux pas. Mais encore une fois je me tais. Il éjacule. Chacune de ses giclées est un jet qui m’asperge la glotte. Il est généreux.
    
    Trois fois. Quatre fois je sens la coulure. Ma bouche est pleine. Le goût du sperme m’envahit. J’ai rarement eu l’occasion d’y goûter. En réalité, je crois n’avoir jamais accordé cette pratique a aucun homme et bien sûr, pas à Pierre. Je n’en connais que l’odeur. Le goût est presque plus neutre.
    
    Que dois-je faire ? Laisser couler le foutre sur le ventre de l’homme ! Que ferait Roxane à ma place ? Poser la question est y répondre. Je me force à avaler. La queue qui ramollit à peine est un piston qui pousse la crème dans ma gorge.
    
    Voilà c’est fait.
    
    En prenant la place de Roxane, je n’imaginais pas du tout ce dénouement. Et si elle faisait la même chose à mon mari ! Oh, la, la ...
«12...678...»