Retrouvailles
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
fsoumise,
hdomine,
noculotte,
vidéox,
Masturbation
Oral
69,
fdanus,
yeuxbandés,
journal,
fsoumisah,
Auteur: Manofsam, Source: Revebebe
... couloir. Je l’imagine bouche bée. J’esquisse un sourire.
— Bonjour, mon amour.
— Bonjour ma puce.
Il a refermé la porte, a retiré son manteau, et s’approche maintenant de moi en marchant avec prudence. Il tourne autour de moi, sans me toucher. Je me dis que j’ai été bête, l’effet aurait encore été plus fulgurant si j’avais été nue. Mais cela aurait enlevé le plaisir de me sentir déshabillée.
— Tu t’es faite belle pour moi ! Et ça sent bon, ce que tu nous as préparé !
— Oui. Je suis ta petite femme, j’attends d’exaucer ton désir.
Je prends un plaisir certain à jouer les soumises obéissantes. Nous n’avons jamais eu de jeux SM pourtant. Comme je suis agenouillée, il me semble sentir l’humidité de mon sexe couler sur ma cheville.
Paul s’est avancé, à nouveau face à moi. J’entends une fermeture éclair, puis quelque chose de chaud se présente contre ma bouche. J’ouvre mes lèvres, sans ostentation, en jouant les ingénues. Il entre peu à peu son sexe brûlant dans ma bouche. Je l’humecte de toute ma salive, je le fais rouler sur ma langue. Il se durcit très vite. Paul le ressort, alors je tends la bouche, comme si je le cherchais. Je sors le bout de la langue, je le lèche. Pour l’instant, je m’interdis de le prendre avec mes mains. En fait, je m’interdis même toute initiative. Je suis un corps au service du plaisir de mon homme. Pourtant, Dieu sait comme je mouille et comme je meurs d’envie de plonger mon doigt dans les frous-frous de ma jupe pour faire pression sur ...
... mon clitoris.
Appréciant visiblement la caresse (un sexe d’homme ne sait pas mentir sur ces choses-là), Paul se détend et cherche à nouveau à prendre ma bouche. Je happe son sexe. Il entame alors un va-et-vient, comme s’il était dans ma chatte. Il prend soin de ne pas aller trop profond. Je convoque de mon mieux toute ma salive, pour engluer son sexe. J’ai vu ça dans l’un de ses films pornos : une fille faisait une pipe d’enfer, elle salivait tellement que des filets de bave s’étiraient entre sa bouche et le sexe. Paul se retire, effectivement je bave aussi.
— Petite cochonne, me dit-il, tu baves.
Il m’essuie le menton avec un geste de tendresse. Mutine, je lui attrape le doigt et le passe entre mes dents pour le caresser de ma langue. Ce geste en dit plus que de longs discours sur le désir qui me liquéfie. J’ai senti dans sa voix une pointe d’excitation, je dirais même, de perversité, que je n’ai jamais entendue chez lui. Comme si Paul n’avait jamais osé me montrer qu’il rêvait d’une fille bien cochonne. Aujourd’hui, je ne serai plus sa princesse, celle qu’il aime et respecte, mais juste une pute. C’est tout ce que je veux : qu’il célèbre ma féminité en déchaînant ses instincts, et en laissant de côté ce foutu respect.
Avec délicatesse, Paul m’a pris la main, et il m’aide à me relever. Il me guide vers le salon puis s’arrête. Alors, doucement, il me fait basculer en avant. Je me fie à lui, et je sens bientôt, en effet, le canapé. Je me laisse basculer en avant ...