COLLECTION ZONE ROUGE. Les copines (1/1)
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Attends Susy, mon portable sonne.
Je décroche.
• Oui, c’est moi, pardon, tu veux me voir, tu as un problème et tu souhaites m’en parler.
Non pas chez moi, que diraient les gens si l’on te voyait seul chez la meilleure copine de ta femme, ou es-tu ?
Dans 15 minutes au café près de la Nation et le cours de Vincennes.
La tuile, que me veut son mari, Susy est mon amie depuis la plus tendre enfance, nous sommes montées à Paris, elle a épousé Roland, plus précisément, je lui ai fait épouser Roland, car il avait de gros moyens et ma copine pouvait rester libre de son temps.
• Je m’absente quelques minutes, ton mari veut me voir, tu as compris qu’il voulait venir ici, je vais voir ce qu’il me veut.
• Agnès détache-moi, je vais rentrer à la maison.
• On verra ça après que tu auras appris ce que ton mari me veut, Abdou a la clef, il sera content de te trouver à sa merci, tu vas t’éclater.
• Laisse les clefs des menottes.
• Nullement, je fais simplement un aller-retour.
Habillée, je quitte l’appartement, comme je l’ai déjà dit, Susy est mon amie et mon souffre-douleur, toute petite, je faisais d’elle ce que je voulais, à l’âge de raison, nous sommes devenues amantes, j’aimais l’attacher dans la grange de sa grand-mère, l’a dénudée et lui sucer la chatte.
Elle aussi a pris goût à nos jeux et nous sommes rapidement devenues les lesbiennes du village.
Pour fuir le candir a-t-on, j’ai décidé de rejoindre Paris, j’ai bien senti que Susy avait envie ...
... d’autre chose que de ma chatte, j’ai acheté des godes, ainsi qu’un gode ceinture.
C’est avec lui que nous nous sommes dépucelés, j’ai aimé me faire défoncer et eu de nombreux amants, jusqu’à en faire mon métier, je suis escorte ce qui me permet de vivre en travaillant quand je le veux.
J’ai eu peur de faire franchir le pas à Susy, j’ai décidé de lui trouver un mari, j’avais souvent des clients qui voulaient venir chez moi, mais comme elle habitait avec moi, je devais refuser.
C’est Roland que j’ai choisi l’ayant rencontré dans un vernissage où l’un de mes clients fortunés m’avait convié, il voulait que je m’ouvre à la culture, mais j’ai surtout vu que c’était un moyen de rencontrer des hommes fortunés.
Roland est un peu benêt, concernant les choses de la vie, mais assez intelligent pour avoir un poste important au ministère de l’Intérieur.
J’avais pris son numéro, je l’ai appelé et nous avons convenu de nous revoir au restaurant, j’ai amené Susy, il a semblé déçu au début, j’ai tout fait pour qu’un rapprochement ait lieu.
Je leur ai fait croire à une urgence en déclenchant l’appel automatique de mon portable, je les ai quittés, j’avais de toute façon rendez-vous pour une passe tout près de là.
Quand je suis rentrée, j’avais gagné, Susy et Roland était dans son lit, il était en elle alors qu’elle était en levrette, j’ai repoussé la porte, après avoir rangé mon pognon dans le petit coffre que j’ai dans ma chambre, je suis allé me coucher.
J’arrive place de ...