1. Chaude soirée


    Datte: 04/03/2019, Catégories: fh, jeunes, couple, danser, fête, amour, noculotte, pénétratio, journal, amourdura, Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... ?
    
    Dingue, la crédulité de ce garçon.
    
    — Non. C’est dommage. J’aurais bien aimé jouir dans tes bras.
    — Cela peut s’arranger. Allons dans la salle de bain.
    — Si tu veux me faire l’amour, il faudrait que tu ailles le voir.
    — Comment ça ? s’exclame-t-il.
    — Pour que tu t’arranges avec lui.
    — Je ne comprends pas.
    — De temps en temps, il m’offre à un inconnu.
    — Il fait payer ?
    — Je suppose. Il perd souvent au poker.
    — C’est de la prostitution ! s’étrangle-t-il.
    
    Dingue ! Il ne se rend même pas compte que ce que je lui raconte maintenant est en complète contradiction avec ma phrase sur le mariage et la fidélité ! Guillaume, les filles vont te faire tourner en bourrique !
    
    — Et alors ?
    — Tu es folle. Bientôt tu vas te retrouver sur le trottoir.
    — Mais non. Il m’aime trop. Il est vert de jalousie quand il me regarde faire l’amour avec un autre.
    — Parce qu’il assiste ?
    — Oui. Cela décuple mon plaisir.
    — Vous êtes totalement pervers.
    — Tu crois ? (ton innocent et surpris)
    — Combien il demande ?
    — Très cher. Trop cher pour un jeune étudiant comme toi. C’est dommage, j’aurais bien aimé faire des choses avec toi, mon cher Guillaume. Tu as un bel engin qui me fait envie.
    
    Les filles, une nouvelle fois, me comprendront. Nous sommes dans le noir quasi complet, les seules lumières viennent de la rue. Il ne me connaît pas. Nous ne nous reverrons jamais. J’ose. Qu’est-ce que je risque ?
    
    — Laisse-toi faire, annoncé-je en me décollant un peu.
    
    Ma main se glisse ...
    ... derrière sa ceinture. Je tâtonne. Je trouve et j’écarte le slip. Mes doigts se nouent autour de la grosse tige dressée. Je tire vers le bas pour dégager le gros gland congestionné, je le branle avec son prépuce, je monte, je descends, je frotte le frein à vif. Mon cavalier commence à défaillir, il geint, il va jouir, je dois ralentir. Le couple à côté de nous se rend compte de mon manège, ils en sont bouche bée, ils s’arrêtent de tourner pour regarder le spectacle. J’en oublie de ralentir suffisamment mon manège. Mon cavalier est pris d’un spasme. Je me retrouve avec la main pleine de sperme.
    
    Punaise, mon bel ado est un éjaculateur précoce !
    
    Pourvu qu’il n’ait pas maculé ma jupe ! Je m’écarte par précaution.
    
    — Eh bien Guillaume ! Tu n’es pas bien résistant, lui glissé-je dans l’oreille en lui montrant mes doigts pleins de sperme. Tu as des progrès à faire si tu veux devenir l’amant d’une femme mariée, ajouté-je ironiquement.
    
    Comme je me mets à les lécher. Il me regarde faire avec effarement.
    
    Mon petit Guillaume, je ne suis pas une pute, comme je me suis amusée à te faire croire. Je profite de l’occasion pour voir si tous les spermes ont le même goût. Si je n’étais pas une épouse fidèle, je le saurais depuis longtemps. Maintenant, grâce à toi, je sais qu’il y a des nuances.
    
    — Tu devrais aller t’essuyer, tu en as plein ta chemise, lui conseillé-je.
    — Attends-moi, je reviens, me répond-t-il. Tu vas me donner tes coordonnées… enfin celles de ton mec puisqu’il faut ...
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