Insectes
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... venus m'emporter comme les vagues et j'ai un peu perdu le sens des réalités. C'est à ce moment la que le vieux, profitant de ma faiblesse passagère a passé une main leste sous ma jupe et a remonté en caressant mon collant jusqu'à la fourche trempée de mes deux cuisses disjointes, empaumant ma fente et la fouillant de ses doigts qui enfonçaient le fin collant jusqu'en dedans de moi.
«Tu es trempée comme une belle salope!» a t il commenté en frottant fort ma chatte. J'ai gémi à nouveau, j'étais si faible, si demandeuse de ce bonheur indicible de sentir mes seins démangés de millions de minuscules morsures. Les doigts du vieux se sont mis à me masturber avec vigueur et je l'ai laissé faire, sentant revenir les vagues de plaisir, gémissante et pantelante. Ces insectes annihilaient toute résistance en moi, je n'étais tendue que vers le désir, le plaisir, la jouissance que je sentais renaitre aux creux de mes reins sous la double action des doigts habiles qui trituraient mon clitoris et des criquets qui agaçaient mes tétons.
Je n'ai jamais ressenti rien de tel, une troisième vague m'a emportée sous les encouragements du vieux qui proférait à mon oreille des insanités, me racontant combien ma chatte était inondée, comment mes nichons étaient durs et dardés, enflés en volume, mes tétons rigides, tendus vers le plafond.
«Braves petites bêtes!»
Il s'est à nouveau éloigné de moi avant de revenir avec d'autres criquets, qu'il m'a posé une fois encore sur les seins et les ...
... chatouilles se sont multipliées. J'étais dans l'impossibilité de protester, je tremblais de tout mes membres comme envoutée. Mes gémissements étaient continus tant je ressentais les insectes qui électrisaient le moindre nerf de cette partie de moi si sensible. Je ne vivais que pour cette sensation étrange, j'en redemandais, et le vieux multipliait les criquets qui maintenant me couvraient les nichons. Ils disparaissaient sous une foultitude verdâtre d'ailes grouillantes et excitantes.
«Va y ma belle laisse toi aller!»
Et j'ai obéi au vieux qui avait repris sa place entre mes cuisses et me massait le clitoris entre deux doigts. J'ai crié mon plaisir, ne me retenant plus, offrant mon bassin au vieux pour lui facilité la tache, écartant mes cuisses, les seins couverts d'une masse grouillante qui tyrannisait mes tétons. J'ai crié fort et longtemps, j'ai gémis en me tordant sous des sensations jusque la inconnues, libérant ce que j'avais en moi de plus bestial, je n'étais plus qu'une machine à jouir, oubliant l'indécence de ce que je subissais, mon sexe qui s'offrait à ce vieux lubrique, mes seins enflés au point d'en être maintenant douloureux les râles rauques sortant de ma gorge comme une bête, je jouissais pour la quatrième fois avant de m'effondrer, haletante, le souffle court, épuisée de trop de bonheur.
Promptement, le vieux m'a retiré les insectes un par un avant de les remettre dans l'aquarium. Quand il eut fini je baissais les yeux vers mes seins, ils étaient ...