Insectes
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... fini par connaitre, dans les ruelles sombres pour rejoindre le marchand de criquets. Il s'en suivait des orgies nocturnes où les hommes se succédaient pour la satisfaire sans jamais la mener à la satiété. Parfois il arrivait que qu'une vingtaine de «nègres» comme il les appelait, passent sur le ventre de son épouse. Elle rentrait au matin, hagarde, chancelante, marchant d'une drôle de démarche, se tenant les cuisses écartées tant sa chatte la faisait souffrir. Mais cette douleur ne la rebutait pas et malgré les suppliques de son homme, elle revenait sans cesse à ce qui était devenu son vice. Elle réussit à entrainer avec elle deux autres femmes de la bourgeoisie coloniale, une femme d'officier et une autre de diplomate et toutes les trois elles se livraient à des orgies sans fin, se laissant besogner par des hommes ruisselants de sueur, aux sexes tendus, gonflés de sang, qui leur passaient sur le corps à la chaine. Du plus jeune au plus âgé, elles acceptaient cet hommage frelaté de la part d'hommes trop longtemps frustrés de leur sort par ces blancs sans scrupules et trop heureux de se venger ainsi de la dureté de vie qui leur était faite.
«Croyez moi, me dit le vieux les yeux dans le vague, ces hommes la étaient comme des bêtes, se bousculant pour prendre à la chaine ces trois blanches qui se livraient à eux.»
La chose s'était rependue dans la ville comme une trainée de poudre et s'étaient plusieurs dizaines d'hommes qui se présentaient les soirs où ces dames ...
... avaient été aux criquets. Les femmes africaines se firent elles même complices de leurs maris, trop heureuses de se débarrasser un instant de ces hommes toujours à tourner autour de leurs chattes, mais aussi, heureuses de se venger de ces femmes si arrogantes qui les traitaient en esclaves chez elles. Ces femmes la, se souvenaient aussi comment les maris pouvaient être odieux, toujours à les frôler, leur mettre la main aux fesses sans qu'elles ne puissent se plaindre, et même parfois leur imposant une relation, enfin, un rut rapide dans l'arrière cuisine pendant que madame était dans piscine.
Tant de provocations engendrant tant de haine en fin de compte. Les femmes blanches étaient donc traitées comme des putains tout juste bonne à faire décharger des bites noires qui les prenaient par tous les trous disponibles, quoique les noirs avaient une préférence pour leur vagin. Mais c'étaient elles qui réclamaient une bite en bouche, une autre dans le cul etc....Ces méthodes choquaient les hommes noirs qui n'en éprouvaient que plus de mépris pour ces femmes sans honneur.
Le vieux soupira, il y eut un silence et je voyais dans ses yeux qu'il revivait ces moments africains.
«J'ai fini par perdre ma femme, me dit il»
«Comment ça? Demandais je»
«Un jour un type sans scrupule lui a fait miroité je ne sais quoi, elle l'a suivi. C'était un maquereau, je l'ai su plus tard. Il s'est servi de ma femme pour se faire de l'argent. Elle, elle est morte d'épuisement et aussi de mauvais ...