1. De si jolies filles


    Datte: 04/03/2019, Catégories: ff, fff, ffh, fbi, jeunes, couplus, poilu(e)s, fépilée, campagne, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, échange, portrait, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... J’ai rejoint, nue, les sanitaires les plus proches et j’ai pris une douche salvatrice.
    
    Ce n’est qu’à cet instant que je pris conscience que j’étais totalement nue. Je me suis dit que j’avais peu de chance de rencontrer quelqu’un et si c’était le cas, le noctambule penserait à une apparition due à une exposition trop longue au soleil ou à un abus de boisson. Et s’il racontait sa vision, ses amis lui diraient : « T’as fumé la moquette ! » La crainte d’être nue face à un campeur n’était pas une question de pudeur, plutôt d’être inconvenante que la gêne soit du côté de celui qui me verrait.
    
    J’ai rejoint le bungalow sans voir personne. En entrant dans la chambre où j’avais laissé Claude, j’ai constaté qu’il dormait comme une souche. Et la branche qui m’intéressait pendouillait toujours aussi lamentablement, comme si elle était sans vie. Oui, j’avais encore envie de baiser, je n’en avais pas assez. Alors, j’ai rejoint les jeux saphiques de Karine et d’Amandine.
    
    J’ai retrouvé les deux femmes nues et se donnant du plaisir. L’arrivée d’une nouvelle partenaire dans leurs étreintes ne les troubla pas et c’est donc à trois que nous avons fait l’amour. C’est même Amandine qui débuta les hostilités parcourant mon corps de caresses et de baisers, excitant mes seins et découvrant le travail de son époux sur ma vulve encore tuméfiée et mon cul largement ouvert.
    
    — Il t’a même sodomisée, dit-elle en rougissant.
    — Il ne m’a pas violée, lui dis-je, j’étais consentante.
    
    Avec elle ...
    ... et bientôt avec Karine, il s’agissait de sensualité avec beaucoup de douceurs, sans aucune brutalité, sans aucune douleur. J’avais aimé baiser avec cet homme, mais pour rien au monde je n’aurais abandonné les relations saphiques, plus langoureuses, plus appuyées, plus appliquées, plus lentes.
    
    Avec Karine nous avons honoré le corps de la belle Amandine. Tantôt j’échangeais avec elle de suaves baisers en lui caressant les seins, tantôt j’allais fouiller à la recherche de son bouton d’amour en la faisant vibrer de plaisir. Nous lui offrions de merveilleuses caresses, des baisers doux comme le miel et son sexe restaient en permanence humide comme la rosée du matin.
    
    Le lendemain matin, entre filles, nous prenions notre petit-déjeuner sur la terrasse du bungalow en petite tenue. Claude est sorti de la chambre et est venu nous retrouver un peu contrit. Son bermuda était déformé par une forte érection.
    
    — Je me réveille seul. J’aurais bien aimé jouer les prolongations ce matin.
    — Eh bien non, mon chéri, lui répondit Amandine, les prolongations, c’est avec moi que Cindy les a faites.
    — Et alors, demande-t-il, cela fait quoi de baiser avec des gouines ?
    — Déjà, je n’ai pas baisé, j’ai fait l’amour, et quel vilain mot que celui de gouine ! Il y a bien des synonymes beaucoup plus plaisants. Tu ne sauras rien d’ailleurs… Tu ne pourrais pas comprendre, tu es un homme. Sache tout de même que, même si j’ai beaucoup aimé cette parenthèse, je reste hétérosexuelle mon amour.
    — Et, ...
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