L'enseignement religieux
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
profélève,
douche,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
BDSM / Fétichisme
Oral
intermast,
h+prof,
Auteur: Noisybird, Source: Revebebe
... vie entière avec lui. Je ne m’en plains pas, ajoute-t-elle. C’est un homme attentionné, qui sera sûrement un bon père de famille. Mais je n’aurai pas 26 ans toute ma vie, j’ai envie d’en profiter un tout petit peu. Je ne suis pas nymphomane pour autant, tu n’es que le troisième garçon avec qui je couche.
— Qui était le premier ? demande-je curieux.
— Mon petit ami au lycée. Ce n’était pas terrible, m’avoue-t-elle en rigolant. Enfin, pour répondre à ta question, je ne m’en veux pas. Ça restera notre secret.
— Et Dieu, là-dedans, qu’en dit-il ? dis-je d’un ton ironique.
— Dieu ne nous aurait pas donné un clitoris s’il ne souhaitait pas que nous nous amusions un peu, élude-t-elle élégamment.
Ma main gauche caresse négligemment ses seins, elle ferme les yeux. Un peu de sensualité dans ce monde de brutes.
— Tu dors dans mon lit, cette nuit ?
— Si tu me promets de ne pas me violer pendant mon sommeil, me répond-elle en souriant.
— Je ne garantis rien !
Quelques minutes plus tard, après avoir ramassé nos affaires éparpillées un peu partout, nous nous retrouvons sur le lit. Elle s’est couchée sur le côté gauche, totalement nue, sur le ventre, les jambes et les fesses recouvertes d’un drap léger. J’éteins la lumière, me penche vers elle, dépose un baiser dans ses cheveux, la remercie pour cette soirée et lui souhaite bonne nuit.
Elle s’endort rapidement, son souffle se fait de plus en plus régulier. La lumière venant de la rue éclaire légèrement son corps dont je ...
... devine les courbes. Il y a quelques heures, je méprisais presque cette prof, maintenant cette femme dort paisiblement dans mon lit. La vie réserve parfois de ces surprises !
Je mets un peu de temps pour m’endormir, mais y parvient finalement, même si je me réveille souvent. Sur le coup de trois heures du matin, je regarde ma prof, qui est passée sur le dos. Elle dort toujours, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration. Je dois faire un effort faramineux pour ne pas les embrasser, les lécher. Mon sexe se durcit à nouveau. Je me rendors et fais sûrement des rêves pas très catholiques.
Je me réveille de nouveau à six heures du mat’. Le temps que j’émerge, je constate que ma prof n’est plus dans le lit. Sans prendre le temps de me couvrir, je me lève. Ma prof est dans le salon, vers la fenêtre, enroulée dans un drap, regardant la rue encore noire, toujours pluvieuse. Je viens me mettre derrière elle, la prends par les hanches, l’embrasse dans le cou. Je la sens frémir.
— T’es vraiment obligée de partir ? On ne peut pas passer la matinée à faire l’amour ? lui dis-je d’une voix encore mal réveillée.
Elle sourit puis me répond :
— Je dois travailler, tu sais, ce que tu ne fais jamais pendant mes cours ?
— Il faudra me punir, alors, car je ne compte toujours pas travailler, lui réponds-je ironiquement.
Mes mains remontent sur ses seins, mon sexe durcit de nouveau contre ses fesses.
— J’ai envie de toi, de ta bouche, de tes seins, de ta peau, de tes ...