1. Dans la gueule du loup


    Datte: 03/03/2019, Catégories: couple+h, fh, hplusag, fplusag, hagé, extracon, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), photofilm, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Auteur: Atortetadore, Source: Revebebe

    ... regardant d’un air vainqueur :
    
    — Regarde bien, maintenant… Je vais lui casser le cul, à ta connasse de femme.
    
    Mathilde est trop dans les vapes pour comprendre ce qu’il fait et à qui il parle. L’action dure peu de temps.
    
    — Après ça elle ne pourra plus se passer de ma grosse queue pour lui boucher son trou du cul.
    
    Puis d’une poussée, il descend et s’enfonce dans le gros cul de Mathilde. Lui fourrant le gode dans la chatte à la vitesse max. En même temps
    
    — Ahhhhhhhhhhh !
    — Oui, vas-y, gueule, salope ! Je sais que tu aimes te faire déboîter le fion.
    — Ouiiiii. Oh ouiiiii. Encore…
    — Tu vois, c’est magique, regarde ce trou du cul comme il est beau !
    
    Effectivement, l’anus de ma femme est là devant mes yeux, béant. Et elle réclame de la lui remettre.
    
    — Vas-y Bernard. Encore.
    
    Bernard lui remet sa grosse queue et commence un va-et-vient frénétique, lui défonçant le cul de tout son poids. Mathilde gémit, crie, hurle sa jouissance. Il jouit, Mathilde l’accompagne et moi aussi.
    
    Une nouvelle fois la question se pose de savoir comment je vais réagir. Que dire à Mathilde qui cette fois, volontairement, m’a trompé ? Je vous avoue qu’à ...
    ... cet instant, je n’en sais rien. Je suis encore sous le choc.
    
    Je vous passe le récit du reste du DVD qui ne filme plus que le salon de Bernard, vide, mais où l’on entend clairement Mathilde prendre du plaisir. Je ne saurais vous dire combien de fois il l’a fait jouir cette nuit-là, mais je comprends mieux pourquoi elle était si fatiguée le dimanche en rentrant.
    
    Comment ma femme a-t-elle pu se laisser traiter de la sorte ? Elle qui ne supportait pas les mots crus ! Jamais, je n’aurais imaginé ma femme dans une telle situation, humiliée et qu’elle y prenne autant de plaisir.
    
    Au moment même où j’écris ces mots (5 h 30 du matin), je ne peux dormir. Je me passe et repasse ces images dans ma tête, en boucle. Je n’arrive plus à penser à autre chose. Ma femme, mon amour de ma vie, ma raison de vivre…
    
    Il reste un épisode à écrire. Je ne peux m’y résoudre mais il faut que je le fasse.
    
    Pourquoi me demanderez-vous ?
    
    Je n’en ai aucune idée. Peut-être que ça m’aidera à exorciser la détresse dans laquelle je suis plongé. Je dois avouer. Écrire cette histoire m’excite autant qu’elle me fait souffrir.
    
    Je dois être un grand malade…
    
    À suivre… 
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