1. Effets Kiss Cool


    Datte: 30/04/2024, Catégories: fh, vengeance, pénétratio, fsodo, journal, totalsexe, extraconj, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    Je suis heureux de ne pas être né au 21e siècle. S’il est vrai que maintenant on peut tout savoir grâce à internet, alors dès mon adolescence j’aurais su que j’étais éjaculateur précoce. À notre époque, c’est considéré comme une tare, même s’il est vrai aussi que la médecine, l’hypnose et d’autres techniques peuvent maintenant améliorer le « confort » de l’éjaculateur précoce.
    
    Moi, je ne l’ai pas su tout de suite. Au contraire, je pensais, alors qu’avec un cousin on se branlait de concert, oui, je pensais que c’était un avantage. Pas besoin de s’astiquer longuement pour cracher sa semence.
    
    Comment savoir alors que, dans ces années-là, Paris Hollywood était la seule revue érotique disponible et qu’il fallait ruser pour s’en procurer ? Même calvaire pour les capotes !
    
    Heureusement, les filles n’avaient pas plus d’informations. Seul leur corps pouvait leur « parler ».
    
    Je bandais si fort que mon sexe était dur comme un bâton et littéralement collé contre mon ventre. L’éloigner pour qu’une bouche le gobe était presque douloureux… mon gland était si sensible. Heureusement, si je crachais vite, je ne débandais pas et pouvais enchaîner pour un second round qui durait plus longtemps… un peu plus…
    
    J’en ai vraiment pris conscience le jour où, avec le cousin, on a dragué deux filles qui campaient avec leurs parents. Oui, « avec les parents », car à l’époque, il était inimaginable que deux copines partent camper seules. Donc, on les avait draguées, deux Parisiennes. Paris ...
    ... était si loin et les ados qui venaient en vacances dans leur famille nous semblaient d’un autre monde, « affranchis », « libérés ». Les deux filles n’étaient pas farouches et très vite le cousin et moi on a réussi à les allonger dans l’herbe. La mienne avait voulu me sucer, mais, me connaissant, j’avais eu peur de cracher dans sa bouche, et je savais pour l’avoir déjà fait que la fille n’aurait sûrement pas aimé. Elle était tout humide et à l’époque je savais l’apprécier, car une fente bien grasse me permettait de gagner quelques secondes… de la même façon que la capote me ralentissait. Mais j’ai vite craché. Pendant quelques secondes, le temps s’est arrêté. J’ai bien senti que la fille attendait autre chose. Surtout qu’à quelques pas on entendait mon cousin posséder la copine avec ardeur et que la même copine, qui était du genre bavarde, l’encourageait.
    
    La honte de ma vie ! Heureusement, je me suis senti à nouveau en forme, et j’ai pu reprendre le travail là où je l’avais laissé.
    
    Mais le mal était fait. Je n’étais pas à la hauteur.
    
    Pendant longtemps, je me suis branlé pour m’arrêter juste au moment où je sentais la sève monter, pour reprendre, reprendre encore. Mais tous ces exercices ne me faisaient gagner que quelques secondes…
    
    Alors j’ai changé de tactique. J’ai découvert que les filles aimaient bien qu’on les caresse un peu avant de les posséder. Je suis devenu le roi des préliminaires. J’ai très vite appris à les amener à jouir ou au bord de la jouissance, ...
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