1. Karine et le plaisir de la soumission 10


    Datte: 19/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Dan48, Source: Hds

    ... L’épilation laser je l’ai faite pour lui, pas pour les autres.
    
    Par contre, quand j’ai parlé du Glory-Hole gratuit, savoir que je vais me faire enculer deux fois par semaine sans lui dans un sexshop, et par un nombre indéterminé de mecs… ça l’a un peu refroidi. La rémunération et les fringues gratis ont fait passer la pilule, mais c’était limite. Vu sa réaction, j’ai passé sous silence la pipe avec le gynéco, j’ai juste dit que j’avais ma pilule et de la pommade pour apaiser mon cul après les fessées. Je n’ai même pas abordé le sujet de l’institut de beauté, pour lui, Vanessa a fait le travail, exit la partie de jambes en l’air avec Bruno. Mais quand je lui ai montré le martinet, il l’a essayé de suite, sur les feuilles d’un buisson heureusement, car vu la violence des coups… les feuilles étaient hachées, mon cul aurait été marqué pour un mois et j’aurai alerté la moitié de la ville par mes hurlements. Il va devoir se modérer le Hugo : c’est un achat pour notre plaisir commun, pas pour la destruction de mon petit postérieur.
    
    On est allongé l’un près de l’autre depuis que je suis arrivée, j’ai juste viré mes fringues, rien de plus, depuis j’attends. Rien. Je sais que mon récit l’intéressait, mais je pensais qu’il aurait déjà entrepris de me dilater mon petit trou avec sa bite. Ça fait quand même plus de trente minutes maintenant que je suis à poil devant lui, à onduler du bassin et rien. Il regarde mais ne touche pas. Il est mon maître, je ne suis que sa soumise, ce ...
    ... n’est pas à moi d’attaquer, c’est à lui de prendre la décision de m’enculer ou de se faire sucer. Je m’en fiche, comme il veut, mais j’ai besoin de sa bite. C’est en principe le dernier jour avec lui avant son départ en vacances avec ses parents, sa passivité me fait enrager.
    
    Soudain, sa montre se met à sonner. Il dit- « Déjà 10h, ça passe vite ! Viens ! On va se promener »Voilà autre chose maintenant ! Une promenade ! Je me rhabille en vitesse, frustrée mais je ne dis rien. J’essaie de cacher ma mauvaise humeur. On rejoint le sentier et on se dirige vers le centre aquatique et le parc attenant. Bien que je ne sois pas vraiment habillée pour une partie de campagne, je souris un peu, il m’a, semble-t-il, préparé une surprise… On traverse le centre sans s’arrêter et on entre dans le parc. Ma gaieté se rafraichit considérablement : il n’y a ni bar, ni restau, par ici, uniquement une activité accrobranche. Je ne me vois pas faire de l’accrobranche en (très) mini-jupe et sans culotte en période d’affluence. La sécurité du parc va débouler en cinq secs.
    
    On tourne à gauche, je soupire de soulagement, l’accrobranche est à droite. Je ne sais pas ce qu’il y a de ce côté. C’est joli, bien aménagé, avec des bancs, une belle pelouse agrémentée de bosquets un peu partout, c’est bien vallonné. Le paysagiste a fait un job du tonnerre, mais moi je me fais un peu chier pour tout dire, en plus Hugo marche vite, je suis fatiguée de courir. Il regarde sa montre, ralentit enfin et dit - « C’est ...
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