1. Confessions de femmes mûres (4) Magali (60 ans)


    Datte: 18/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... moi et j'ai juste mis une petite robe de maison pour ne pas trop choquer mon monde, mais elle ne cachait pas grand chose. Dès que je me mettais assise dans le fauteuil, il suffisait que je croise les jambes pour découvrir mon sexe, et un de mes seins s'échappait souvent d'un décolleté très généreux. Je dormais nue, sans trop veiller à fermer la porte de ma chambre, dès fois que Cynthia m'appellerait, ce qui arrivait souvent. C'est d'ailleurs ce qui arriva une nuit et j'accourus dans le plus simple appareil pour la rassurer, ce qui me fit rencontrer Mathias vêtu de son seul caleçon. Quand on a fini par sortir de la chambre de la petite, enfin rendormie, une excroissance énorme tendait son vêtement.
    
    - Je vois que je te fais de l'effet, dis-je, bien obligée de constater.
    
    C'est alors que tout dérapa. Il m'enlaça, pris ma bouche pour un baiser profond et dans l'effervescence de ce moment inattendu, je plongeai une main dans son entrecuisses pour saisir le membre viril qui me faisait la nique. Il m'entraina dans la chambre, ferma la porte, ôta son caleçon et nos corps entrèrent dans un méli mélo sur fond de râles et de soupirs :
    
    - J'ai tellement envie de toi, depuis si longtemps, me souffla-t-il à l'oreille.
    
    Alors, on a baisé. Je lui ai fait tous les trucs que sa femme ne lui faisait jamais, trop heureuse de lui montrer à la fois qu'une sexagénaire baise et que sa femme avait tort de le maintenir dans sa pruderie. Il a déchargé une ...
    ... première fois, on a remis le couvert car il recharge vite et on a fait durer le plaisir presque jusqu'au petit matin. Il a découvert la vraie cochonne que je suis lorsque je lui ai demandé de m'enculer, ce qu'il n'avait évidemment jamais fait. J'étais un vrai zombie le lendemain car quand même, l'âge est là. Mais lui était rayonnant en allant au boulot.
    
    Le lendemain soir, j'ai demandé grâce. Il fallait que je me refasse un peu, mais on a discuté au lit. Je lui ai dit que nos ébats devaient rester secrets car je ne voulais pas qu'il connaisse le divorce comme moi et surtout à cause de moi. Mais je lui ai surtout dit :
    
    - Il faut que tu baises ta femme comme tu m'as baisée. Bouscule-la, impose ton désir, prends la où elle ne s'y attend pas, fais la vraiment jouir comme tu m'as fait jouir.
    
    Il a acquiescé, un peu inquiet quand même de la réaction de son épouse. A ce stade de ma confession, je ne sais pas comment tout ça va tourner. Avant que je retourne chez moi, nous avons encore baisé et j'ai senti qu'il était vraiment accro à mon corps, ce qui m'a flattée mais en même temps inquiétée, d'autant que j'adore moi aussi baiser avec lui. Il est attentionné, prévenant, guette mon orgasme mais aussi virulent comme tout mâle viril se doit d'être. Margot a intérêt à être à sa hauteur. Sinon, je sens que j'aurai de la visite à mon cabinet de pédicure. Non pour qu'il me montre ses pieds mais pour qu'il me fasse prendre le mien...
    
    A SUIVRE 
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